Chaplais Victor

ZIZANIA

« Zizania », qui signifie « Mauvaise herbe ». Ce nom peut exprimer aussi la « zizanie » *


Photographie de l'œuvre "ZIZANIA" de Victor Chaplais, mettant en valeur les mauvaises herbes de nos rues comme des plantes dans un espace intérieurPhotographie de l'œuvre "ZIZANIA" de Victor Chaplais, mettant en valeur les mauvaises herbes de nos rues comme des plantes dans un espace intérieur
Photographie de l'œuvre "ZIZANIA" de Victor Chaplais, mettant en valeur les mauvaises herbes de nos rues comme des plantes dans un espace intérieurPhotographie de l'œuvre "ZIZANIA" de Victor Chaplais, mettant en valeur les mauvaises herbes de nos rues comme des plantes dans un espace intérieur
Photographie de l'œuvre "ZIZANIA" de Victor Chaplais, mettant en valeur les mauvaises herbes de nos rues comme des plantes dans un espace intérieurPhotographie de l'œuvre "ZIZANIA" de Victor Chaplais, mettant en valeur les mauvaises herbes de nos rues comme des plantes dans un espace intérieur


Aujourd’hui, nous ne faisons plus attention aux plantes qui nous entourent, mais certaines sèment la zizanie au cœur de nos jardins. Catégorisées de « mauvaises herbes », nous les détruisons sans distinction pour laisser place à une vision utopique d’un jardin parfait. 

Au fil des saisons, l’espace public se métamorphose, offrant des perspectives variées et modulables. Imaginer des micro-architectures dans nos espaces publics, à partir de matériaux de construction, crée un contraste saisissant entre la rigidité de nos édifices et l’unicité des plantes.


Photographie de l'œuvre "ZIZANIA" de Victor Chaplais, mettant en valeur les mauvaises herbes de nos rues comme des plantes dans un espace intérieur



UNE VISION DE L’HORTICULTURE PAR LE PRISME ARTISTIQUE

Concours photographique organisé par Terra Botanica et l’École des Beaux-Arts d’Angers (TALM), à l’occasion du 31ème Congrès International d’Horticulture (IHC) 2022.


Photographie de l'œuvre "ZIZANIA" de Victor Chaplais, mettant en valeur les mauvaises herbes de nos rues comme des plantes dans un espace intérieur


Ce que j’essaie de montrer à travers la photographie, c’est une vision tout aussi utopique de ces mauvaises herbes dans un espace intérieur, à l’instar de l’artiste Tony Matelli dans son œuvre « Abandon » exposée à la galerie Andréhn-Schiptjenko à Paris.
Une fois ma photographie remise dans un lieu « in-situ », le « Geranium molle » (extrait d’une première photographie) devient un trompe-l’œil. Sa représentation seule dans l’espace recontextualise cette mauvaise herbe en plante.


Vue de l'exposition « Une vision de l’horticulture par le prisme artistique ». Concours photographique organisé par Terra Botanica et l’école des Beaux- Arts d’Angers (TALM), à l’occasion du 31ème congrès international d’horticulture (IHC) 2022.
Vue de l'exposition « Une vision de l’horticulture par le prisme artistique ». Concours photographique organisé par Terra Botanica et l’école des Beaux- Arts d’Angers (TALM), à l’occasion du 31ème congrès international d’horticulture (IHC) 2022.


* Mot latin qui signifie «Mauvaise herbe» en français (Zizanie vient du latin zizania, qui est à la fois un neutre pluriel désignant l’ivraie et un féminin singulier désignant la discorde, la jalousie. Ces deux formes sont empruntées du grec zizanion, « ivraie », lui-même venu du sumérien zizân, « blé »

herbe zizanie


* Mot latin qui signifie «Mauvaise herbe» en français (Zizanie vient du latin zizania, qui est à la fois un neutre pluriel désignant l’ivraie et un féminin singulier désignant la discorde, la jalousie. Ces deux formes sont empruntées du grec zizanion, « ivraie », lui-même venu du sumérien zizân, « blé ».

Mot latin qui signifie «Mauvaise herbe» en français (Zizanie vient du latin zizania,

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